Brève vie du prophète Salomon, roi d'Israël
Saint So-lo-mon, le fils de Da-vi-da de sa femme - Vir-sa-vii, le troisième roi de tous de-ra-il-tyan, oint sur le roi stvo en 12 ans et le royaume- vav-shiy 40 ans. Le pouvoir de So-lo-mo-na serait-la si ve-li-ka que pro-sti-ra-lasse sur tous les so-sed-ing-on-ro-dy, quelqu'un recevrait -ka-mi ce (). Sa gloire et sa richesse seraient si grandes que tous les rois de la terre, selon les paroles de saint Is-to-rii, pourraient voir -gat-stvo So-lo-mo-na et écouter sa sagesse. Le monde-mais est mort, laissant après vous co-chi-non-nia : Proverbe-chi, Pré-mud-ro-sti, Ek-kle-si-a-st et le Chant du chien -elle.
Vie complète du prophète Salomon, roi d'Israël
Comme tu étais sage dans ta jeunesse et, en mieux, re-ke, plein de ra-zu-ma ! Ton âme a couvert la terre, et tu l'as remplie de paraboles pour-ga-fille-nous; ton nom a porté des élans vers les îles lointaines, et tu étais aimé pour ton monde ; pour la chanson et from-re-che-niya, pour la parabole et from-ya-not-niya vous avez été surpris par le pays ! Tellement exalté-mais-assis So-lo-mo-sur le sage Jésus fils de Si-ra-ha (). De la branche du saint tsar Da-vi-da, So-lo-mon, même dans le ro-ro-che-le-tah, a été oint au royaume et pro-exaltation du tsar-rem même pendant la vie de son propre père. Selon son approbation sur le pré-cent-le Is-ra-il-sky So-lo-mon avant tout, en -tsa qui lui est propre, s'est protégé sur le pré-cent-le d'une centaine de ses ennemis et pré-adopté la construction du temple Bo-gu is-tin-no-mu.
Le peuple a encore la force du sacrifice sur vous, car la maison n'a pas été bâtie au nom du Seigneur jusqu'à ce moment-là (). Et So-lo-mon est allé à Ga-va-on, où se trouvait la principale victime-veine-nick, afin d'y apporter un sacrifice à Dieu. Ici, le Seigneur lui est apparu dans un rêve nocturne-vi-de-nia et lui a dit de l'aimer et de marcher selon la bouche de Da-vi-da, père de son-e-th, So-lo-mo-well : Demandez quoi vous donner (). Et So-lo-mon dit : Maintenant, Seigneur, mon Dieu ! Vous avez mis le serviteur de Yours-e-th king au lieu de Da-vi-yes, de mon père; mais je suis un peu ot-rock, je ne connais ni mon-e-go-oui, ni l'entrée. Et ton serviteur est parmi les tiens, que tu as choisis, car il est si grand nombre qu'il est impossible que son corps soit compté ou visible. Que le serviteur de ton cœur-e-mu soit sage, pour juger ton peuple et distinguer entre ce qui est bien et ce qui est mal ; car qui peut gouverner ce multiple-nombre-du-nombre-de-la-maison de Tes-eux ? Et b-allez-suppliquez-mais ce serait le Seigneur-du-du que So-lo-mon pro-force cela. Et Dieu lui dit : parce que tu l'as demandé, tu n'as pas demandé une longue vie, tu n'as pas demandé la richesse, tu n'as pas demandé se-be les âmes de tes ennemis, mais tu as demandé se-be ra- zu-ma afin de pouvoir juger, voici, je ferai selon ta parole. Voici, je vous donne un cœur sage et raisonnable, afin qu'il ne soit pas meilleur pour vous avant vous, et qu'après vous il ne s'élève pas d'une manière supplémentaire. Et ce que tu n'as pas demandé, je te donne à la fois la richesse et la gloire, ainsi il n'y aura pas mieux pour toi entre tsarya-mi tous tes jours. Et si tu vas marcher dans la voie de Mo-im, en préservant Ma bouche et pour-ve-di la Mienne, comme ton père marchait Oui-vue, J'ai continué -zhu tes jours (). Et so-lo-mon s'est réveillé d'un rêve-vi-de-niya qui lui était propre, et cela s'est réalisé exactement. Et le don de ra-zu-ma n'est pas apparu for-med-lil - dans sa cour plus de deux femmes-on-mi, ayant tué sa gloire in-ve -ki: quand deux femmes lui sont apparues, qui ont donné naissance aux bébés en même temps, dont un est mort la nuit, qui quand ils dormaient dans le même, et maintenant, ils se disputaient, lequel d'entre eux appartenait aux filets de jeunes enfants survivants, - alors le roi dit : donne-moi une épée. Et apporta l'épée au roi. Et le roi dit : ras-se-ki-te vivant enfant-ty en deux et donne-leur in-lo-vi-well l'un et in-lo-vi-well l'autre. Et de-ve-cha-la cette femme-shchi-na, le fils de quelqu'un était vivant, roi, car toute son intériorité était excitée de pitié-lo- allez à votre fils-e-mu: oh, mon seigneur! donnez-lui ce re-ben-ka de la vie et ne le tuez pas. Et l'autre dit-vo-ri-la : que ce ne soit ni pour moi, ni pour toi, ru-bi-te. Et le roi répondit et dit : Donne cet enfant vivant, et ne le tue pas : c'est sa mère. Et Iz-ra-il entendit comment le roi jugeait, et commença à craindre le roi, car il vit le peuple que la sagesse de Dieu était en lui pour pro- hors du tribunal. Et So-lo-mon était roi sur tout Iz-ra-i-lem (). Il a régné sur tous les royaumes depuis la rivière Ev-phra-ta jusqu'au pays du ciel Fili-Stim et jusqu'aux pré-de-lovs d'Égypte. Ils apportent-mais-si-li da-ry et servent So-lo-mo-bien tous les jours de sa vie (). Et Judas et Iz-ra-il vivaient-ils en paix, chacun sous le vi-no-city-no-one de son propre et sous le sm-kov-no-tseyu de son propre, de Da-na à Vir-sa -vie, tous les jours de So-lo-mo-na ().
Et Dieu a donné à So-lo-mo-well la sagesse et l'esprit tout-ma-ve-li-kie et un esprit vaste, comme du jus de sable sur le be-re-gu de la mer (). Il était plus sage que tous les peuples... son nom était dans la gloire de tous les peuples environnants. Et des rivières, il avait trois paraboles tu-sya-chi, et sa chanson était-la tu-sya-cha et cinq; et il a parlé de de-re-wahs, de ked-ra, qui est en Li-van, à is-so-pa, you-ras-ta-yu-shche-go from the wall; parlé d'animaux, d'oiseaux, de re-sme-ka-yu-shchih et de poissons. Et venez-ho-di-si de tous les peuples pour écouter la sagesse de So-lo-mo-na, de tous les rois de la terre, quelqu'un entend -si parler de sa sagesse (). La construction du temple, avant le So-lo-mo-nom, a duré 7 ans ; en même temps, il y avait 70 000 personnes qui n'étaient pas timides ma-te-ri-a-ly, 80 000 ka-me-no-sech-tsev, 30 000 rub-by-shchy ked-ro- la forêt de Ti- re, après avoir mis en place, regardé, rugi pour ra-bo-ta-mi - 3 600 personnes. Lorsque tous les travaux furent terminés pour le temple du Seigneur, So-lo-mon amena la maison sacrée Yes-wi, son père, se-reb-ro et doré, et il donna des choses dans le co-trésor du temple du Seigneur-sous-nya et a appelé les anciens pneus From-ra-ile-out et tous les chefs-ni-kov co-len, chefs de co-le-fils de I-ra-ile-out, ... à re-re-not- sti kov-cheg for-ve-ta Lord-under-nya de la ville-ro-da Da-vi-do-va ().
Et, se tournant vers le na-ro-du et b-go-word-viv co-braving-shih-sya de-ra-il-tyan, So-lo-mon said-hall : b-go-slo -veins of le Seigneur Dieu Iz-ra-ilev, Quelqu'un a dit avec Ses-et-mi lèvres Oui-vis-du, de mon-à-mon-e-mu, et maintenant est plein-nil avec Sa main ! Il dit: depuis le jour où j'ai fait sortir mon peuple, From-ra-i-la, d'Egypte, je n'ai pas choisi de ville dans aucun nom du co-len From-ra-ile-vy, de sorte que la maison était construit, dans un certain rhum mon nom serait pré-wa-lo ; mais il a choisi Jera-sa-lim pour pré-be-va-ing en lui le nom de Mo-e-go, et il a choisi Da-vi-da pour être au-dessus de la maison na-ro de Mo-im, From-ra -je-lem. Da-vi-da, mon père, a dû construire un temple au nom du Seigneur Dieu Iz-ra-ile-va dans son cœur. Mais le Seigneur a dit Da-wi-du, mon père: ho-ro-sho, qu'est-ce qui vous tient à cœur de construire un temple nommé d'après Mo -pour lui; en tête-à-tête, vous ne construisez pas un temple, mais votre fils, qui est sorti de vos reins, il construit un temple nommé d'après Mo-e-mu. Et le Seigneur a accompli sa parole, quelques-uns des fleuves. Je suis entré à la place du père de mon Da-vi-da ... et j'ai construit un temple nommé d'après le Seigneur Dieu Is-ra-ile-va ( ).
Et So-lo-mon se tenait devant le zhert-ven-no-one du Seigneur-sous-lui, devant toute l'assemblée d'Iz-ra-il-tyan, et leva les mains vers le ciel et dit : Seigneur, Dieu, Iz-ra-ilev ! il n'y a pas de meilleur moyen pour Te-be Dieu dans le ciel-sah up-hu et sur la terre ci-dessous ! () Est-il possible que Dieu vive sur terre ? Le ciel et le ciel des cieux ne te contiennent pas, d'autant plus ce temple, que j'ai construit au nom de Your-e-mu... Mais regarde mo-lit-wu ra-ba Thy-e-th et pro-elle-tion de celui-ci! Écoutez l'appel et la prière, car un essaim Votre serviteur prie pour vous maintenant ! Que Tes yeux soient de l'orient vers le temple aujourd'hui et cette nuit, vers cet endroit, sur quelqu'un Tu as dit : Mon nom y sera ; entends le mo-lit-wu, quelqu'un va prier pour ton serviteur dans cet endroit ! () Avec chaque mo-lit-ve, avec chaque pro-she-nii, qu'est-ce qu'il y aura de ka-ko-go-or-bo che-lo-ve-ka dans tout sur-ro- de Thy, quand ils se sentent détresse dans leurs cœurs et étendent leurs mains vers ce temple, vous entendez du ciel, avec moi cent obi-ta-niya Thy-e-th et in-luy; fais et donne à chacun selon ses voies, selon que tu vois son cœur, car toi seul connais le cœur de tous les fils de l'homme ! ().
Lorsque So-lo-mon pro-de-porta la prière et pro-elle au Seigneur, puis il se leva avec un genou des sacrifices-veines-no-ka du Seigneur -nya, ses mains auraient été ras-pro -essuyé vers le ciel et, debout, il bénit toutes les collections d'Iz-ra-il-chan (). Et le roi et tous les Iz-ra-il-tyans avec lui apportèrent un sacrifice au Seigneur in-du ().
Et le Seigneur apparut à So-lo-mo-nu une deuxième fois, comme il lui apparut à Ga-va-on, et lui dit : J'ai entendu ta prière et à propos de ton cou... J'ai consacré ce temple, que vous avez construit, afin d'y demeurer au nom de Mo-e-mu pour toujours, et ils seront Mes yeux et Mon cœur sont là tous les jours (). Aux fenêtres du temple, So-lo-mon érigea un mur autour de Ieru-sa-li-ma et un palais pour sa femme, le roi to-che-ri Egi-pet-ko-go, puis au-ca- hall aménager quelques forteresses.
La richesse de So-lo-mo-on était si grande que se-reb-ro à son époque ne correspondait à rien. Et le roi a rendu l'or et le se-reb-ro à Jeru-sa-li-me égaux à de précieux simples stone-nu, et ked-ry, par beaucoup d'entre eux, a rendu égal-mais-prix-us-mi si-ko -mo-ram, certains dans des endroits bas ().
Et tous les rois de la terre, est-il possible de voir So-lo-mo-na, afin d'écouter sa sagesse, que Dieu a mise dans son cœur la sienne. Et chacun d'eux a donné la force de lui-même en cadeau d'or so-su-dy se-reb-rya-nye et co-su-dy, et de vêtements, d'armes et de b-go-in-niya, ko-her et lo -sha-kov d'année en année ().
Tous les rois auraient reçu-ni-ka-mi So-lo-mo-na, et oui, le roi-ri-tsa de Saba, ayant entendu parler de sa gloire au nom du Seigneur-pour-oui, vint pour le tester pour-gad-ka-mi. Et elle est venue à Jeru-sa-lim avec tout-ma-grande richesse : nous-nous-nous-nous-nous-serions-nous-serions-nous-en-pas-je-mi et un grand nombre d'or, et dra -go-price-us-mi-stones, et est venue à So-lo-mo-well et be-se-do-wa-la à propos de tout ce qui serait dans son cœur. Et So-lo-mon lui a expliqué tous ses mots () ... Et elle a trouvé en So-lo-mon la reine de la sagesse et de la richesse encore plus -plus qu'entendu-sha-la à ce sujet, et b-go- slo-vi-la Gos-po-oui, après-sta-viv-she So-lo-mo-sur le tsar-rem pour créer la cour et la justice...
Alors bénis Dieu So-lo-mo-na à ce moment-là, quand il était un-ro-chen devant lui, mais quand So-lo-mon, pour plaire à attendre d'autres-nos-nos-propres, a construit un ca-nourriture pour les idoles, comme-ta-e-my par eux, alors ils ont attiré sur eux la colère de Dieu; Dieu a trahi son inimitié de contre-ni-kov - Ade-ra go-me-i-ni-na et Ra-zo-na, ancien esclave du roi de Suv-sko-go, quelqu'un, ayant fui son gos -on-di-na, a pris shay-ku me-tezh-ni-kov et a renforcé-bu-sya à Da-mas-ke . Tous deux sont dans un cent-yang-mais tre-in-zh-si les Juifs sont leurs-et-mi on-be-ga-mi. Surtout-ben-mais le diable-sur-to-and-lo So-lo-mo-sur le fait que le prophète Ahijah lui avait prédit sous-donné-no-mu - Hiero-vo-amu (Eph- rem-la- ni-nu de Tsa-re-da), qu'il arrachera le royaume de la main de So-lo-mo-no-howl et qu'il recevra le pouvoir sur le 10e ko-le -on-mi de-ra -il-ski-mi... So-lo-mon was-kal alors pour tuer Jero-voam, mais Hiero-vo-am s'enfuit en Égypte, où il vécut jusqu'à sa mort So-lo-mo-na. Cependant, il n'a pas pré-été sans race-ka-i-niya, et n'a pas for-tmi-las-ti-na dans l'âme de So-lo-mo-na. À propos du co-écrasement de son esprit et de la co-connaissance de la vérité et de la nécessité d'être témoin de ses paroles dans "Ek -kle-zi-a-ste": Su-e-ta su-et - tout su-e-ta ! ().
Vous-écoutez l'essence de tout : craignez Dieu et par-ve-di-L'observez, car c'est tout pour l'homme -ka ()...
Tous les livres de So-lo-mon na-pi-sal che-you-re : Proverbes, Pré-sagesse, Ek-kle-zi-ast et le Cantique des Cantiques.
Le temps du royaume de So-lo-mo-na à Ieru-sa-li-me sur tout Iz-ra-i-lem a duré quarante ans. Et So-lo-mon chil avec son père-et-mi, et in-gre-ben était dans la ville de Da-vi-da, son père, et régna à sa place, son fils Ro-vo-am () (de quelqu'un-ro-go - dans l'accomplissement du pro-ro-ro-de Ahii - avec sa- mon ascendance à la pré-table de lo-zhi-lis 10 co-len Iz-ra-ile-vy) .
Le roi Salomon (Shlomo, dans l'Islam - Suleiman) (1011 - 928 avant JC) - l'un des personnages principaux des "écrits saints" abrahamiques.
Salomon dans la "sainte écriture" est appelé le souverain grand et sage, porteur de toutes sortes de vertus (réelles et imaginaires).
Les mérites du roi Salomon sont, entre autres, la construction du temple juif principal (et unique), situé à Jérusalem, et la composition de plusieurs livres du canon biblique :
- "Le Cantique des Cantiques" ;
- "Livre des proverbes" ;
- Quelques psaumes du « Psautier » ;
- "Livre de l'Ecclésiaste".
Salomon n'aurait certainement pas pu être l'auteur du dernier livre mentionné : Ecclésiaste (La Conversation du Désespéré avec Son Ba) est un poème égyptien ancien classique basé sur la religion et la philosophie égyptiennes et faisant écho à un autre poème égyptien, le Chant du harpiste.
La paternité des autres œuvres répertoriées du canon biblique reste également en question. Pour les scribes juifs des temps ultérieurs, le roi Salomon est la personnification d'un dirigeant idéal, et son ère est une sorte d '«âge d'or» de l'ancien État hébreu.
Par conséquent, il n'est pas surprenant qu'une telle attention soit portée à sa silhouette.
Nom du roi
Le nom Shlomo vient du mot hébreu "shalom" - "paix (absence de guerre)", ainsi que du mot "shalem" - "entier, parfait", apparemment, ce sont des mots apparentés. Salomon est mentionné dans la "Bible" sous d'autres noms, par exemple - Jedidiah ("bien-aimé de Dieu, ami de Dieu"); alors son père, le roi David, l'a appelé lorsque Dieu lui a pardonné d'avoir violé Bethsabée et tué son mari.
Comment est-il arrivé au pouvoir
Shlomo semble avoir été l'héritier légitime du trône juif, car il était co-dirigeant avec son père dans les dernières années de sa vie. Quand David est devenu très vieux, son autre fils, Adonija, a essayé d'usurper le pouvoir. Il conclut un accord avec le grand prêtre Aviathar et le commandant Joab, annonça au peuple son avènement et organisa une magnifique célébration à cette occasion.
Cependant, Bethsabée, la mère de Salomon, et le prêtre Nathan rapportèrent cela à David. Adonijah a décidé de s'enfuir et s'est caché dans le tabernacle (temple de camping). Salomon, qui à ce moment-là était devenu l'héritier du trône, a accepté de pardonner à son frère s'il se rendait et se repentait. Il l'a fait. Salomon a exécuté le reste des conspirateurs, puis a formé un nouveau gouvernement.
On rapporte que Salomon a conclu un accord avec Dieu; il lui donna une grande sagesse et patience, comme le demandait le nouveau roi, et Salomon jura d'éduquer le peuple dans la fidélité à Dieu.
Relations avec les autres États
Comme le confirme la signification de son nom, Salomon était un dirigeant pacifique et ne voulait pas mener de guerres. Néanmoins, il a créé un État uni d'Israël et de Juda, qui occupait un territoire important. La base de la richesse du trésor sous Salomon était la route commerciale de l'Égypte à Damas, qui traversait son territoire; Salomon a également échangé des chevaux et des chars, effectué des transactions intermédiaires.
Seulement, il n'était guère possible de gagner une richesse aussi fabuleuse à ce sujet, qui est attribuée au roi légendaire. Les archéologues ont découvert qu'à l'époque de Salomon dans le royaume d'Israël, il y avait de nombreuses mines de cuivre et des fours de fusion, apparemment, c'était la principale source de reconstitution du budget.
Salomon était ami avec les dirigeants des pays voisins, y compris le pharaon égyptien, ainsi, l'inimitié séculaire entre Juifs et Égyptiens a pris fin. Pour renforcer l'amitié, Salomon prit la fille de Pharaon comme première épouse. Il était également en bons termes avec le roi phénicien Hiram - il avait une dette, en remboursement de laquelle il céda à Hiram certains villages sur le territoire de son pays.
Le roi israélien n'a même pas osé traiter avec Razon, un Araméen rebelle qui a expulsé les représentants juifs de Damas et s'est déclaré souverain.
Attitude envers son pays
Salomon était un excellent administrateur, diplomate, constructeur et entrepreneur. Ayant reçu de son père un État pas particulièrement riche, vivant dans un mode de vie tribal patriarcal et peu intéressant pour personne, il en a fait une véritable superpuissance ancienne, avec laquelle les pays voisins ont dû compter - même des pays aussi puissants que l'Égypte.
Le royaume d'Israël lui-même est devenu riche et prospère, et il s'agit avant tout de Jérusalem - Salomon en a fait une métropole luxueuse, d'ailleurs, le seul centre de la religion juive. En attendant, il n'est pas du tout nécessaire d'idéaliser le roi Salomon. C'était un souverain assez puissant qui ne voyait que ses esclaves dans ses sujets.
Le luxe à sa cour atteignait la folie, et l'un des symboles de ce luxe était la taille monstrueuse du harem de Salomon. Le roi a conduit son pays à la prospérité d'une main de fer, souvent sans se soucier des sujets ordinaires ou en faisant preuve de violence à leur encontre. Salomon et la reine de Saba L'histoire célèbre raconte que la reine de l'État sabéen, situé sur la péninsule arabique, est venue une fois à Salomon. Dans la "Bible", leur relation est décrite de manière vague et mystérieuse, cependant, apparemment, le roi Salomon était amoureux d'elle.
QUI EST SALOMON DANS LA BIBLE ?
Salomon(en hébreu, son nom sonne "Shlomo" et signifie "pacifique", "riche dans le monde") - le roi légendaire du royaume uni d'Israël (environ 1015-975 avant JC).
Ses parents sont un Israélite (célèbre psalmiste) et Bethsabée (à l'origine l'épouse d'Urie, l'un des sujets de David). Le mentor de Salomon est le prophète Nathan.
Pendant le règne de Salomon à Jérusalem a été construit Temple de Jérusalem, plus tard détruit par Nabuchodonosor II - le sanctuaire principal du judaïsme.
Temple de Salomon
Au tout début de son règne, Salomon fit un grand sacrifice et vit Dieu en rêve, qui l'invita à demander n'importe quoi. Le roi demanda raison pour pouvoir juger et gérer. Pour cela, Dieu lui a donné non seulement la raison, mais "la richesse et la gloire" (1 Rois 3:12-15).
La toute première manifestation de sagesse est la résolution d'une dispute entre deux femmes (1 Rois 3:16-27). Elles étaient des prostituées, vivaient dans la même maison et donnaient presque simultanément naissance à des enfants. Pendant la nuit, un des bébés est mort et une des femmes a changé d'enfant. Le lendemain matin, elle a nié le fait de la substitution, et les femmes sont venues voir le roi. Salomon a ordonné de couper le bébé vivant en deux avec une épée et de donner chaque moitié. L'une des femmes a accepté cela et la seconde a dit - non, donnez l'enfant, ne le tuez pas. Il est donc devenu clair que c'était elle qui était la mère d'un bébé vivant, et le premier a vraiment changé les enfants.
Salomon était marié à la fille du roi égyptien et avait également de nombreuses concubines, y compris des étrangères. L'un d'eux, qui était alors devenu sa femme bien-aimée et avait une grande influence sur le roi, convainquit Salomon de construire un autel païen et d'adorer les divinités de son pays natal. Pour cela, Dieu s'est fâché contre lui et a promis de nombreuses difficultés au peuple d'Israël, mais après la fin du règne de Salomon (car David s'est vu promettre la prospérité du pays même avec son fils). Et le Seigneur a dit qu'après la mort de Salomon, son royaume serait divisé, et son fils (Roboam) n'en régnerait que sur une petite partie (1 Rois 11:9-13).
Pour gérer les affaires, Salomon a divisé le royaume d'Israël en 12 régions (indépendamment de la division en tribus), pour se protéger contre les ennemis, il a constitué une grande armée avec des chars et des cavaliers, et a fondé des villes de garnison pour les approvisionnements. Il a envoyé des navires sur de longues distances et a montré aux gens des curiosités apportées de différents pays. Salomon a surpassé tous les rois en richesse et en sagesse (1 Rois 10:23).
Deux bâtiments célèbres de Salomon - le temple, qui a été érigé pendant 7 ans, après quoi il a été consacré par le transfert de l'Arche de l'Alliance, avec un sacrifice abondant et une prière solennelle du roi (1 Rois 8 : 1) et le palais, qui a été construit sur 13 ans et émerveillé par les nombreux bâtiments et le luxe. Le revers de ce luxe est les lourdes taxes que le roi a imposées à Israël.
En 928 av. e., après un règne de 40 ans sur tout Israël, Salomon mourut à l'âge de 62 ans et fut enterré dans la ville de David (1 Rois 11:43), c'est-à-dire à Bethléem.
Immédiatement après la mort de Salomon, un soulèvement a éclaté, à la suite duquel l'État uni d'Israël s'est scindé en deux royaumes (Israël et Juda).
Salomon est considéré comme l'auteur du Livre de l'Ecclésiaste, du Cantique des Cantiques, du Livre des Proverbes de Salomon (qui font tous partie de l'Ancien Testament), ainsi que de certains psaumes. Ainsi, à en juger par le titre du Psaume 126, Salomon en est l'auteur.
Le porche de Salomon, dont il est question dans le Nouveau Testament (Jean 10 :23, Actes 3 :11 et
Actes. 5:12 ) - la partie orientale de la colonnade qui entourait le temple de Jérusalem.Olga Bogdanova
La tradition juive considère le roi Salomon, fils du roi David, qui a vécu au 10ème siècle avant notre ère. e., le plus sage des hommes. En entendant beaucoup parler de son esprit brillant, la reine de Saba est venue d'Éthiopie en Israël (selon d'autres sources, Salomon lui-même lui aurait ordonné de venir à lui, après avoir entendu parler du merveilleux et riche pays de Saba), pour vérifier cela avec le plus questions difficiles; Salomon a répondu à tous avec brio. "Il n'y avait rien d'inconnu au roi qu'il ne lui ait expliqué", résume la Bible (10:3).
Il existe une autre légende: le roi Salomon a entendu dire que la reine de Saba avait des sabots de chèvre, c'est-à-dire que le diable se cache sous l'image d'une belle femme. Pour ce faire, il construisit un palais dont il rendit le sol transparent et y lança des poissons. Lorsqu'il invita la reine à entrer, elle souleva instinctivement le bas de sa robe, craignant de la mouiller, montrant ainsi ses jambes au roi. Elle n'avait pas de sabots, mais ses jambes étaient couvertes de poils épais. Salomon a dit : « Ta beauté est la beauté d'une femme, et tes cheveux sont les cheveux d'un homme. Pour un homme, c'est beau, mais pour une femme, c'est considéré comme un défaut.
La Bible rapporte que le roi Salomon a composé 3 000 paraboles et plus de 1 000 chants, et des rois du monde entier lui ont envoyé des messagers pour apprendre ses sages paroles (5:12,14). La tradition lui attribue la paternité de trois livres bibliques : le Cantique des cantiques, les Proverbes et l'Ecclésiaste.
La réputation de Salomon en tant qu'homme sage a été renforcée surtout par le cas de deux prostituées qui se sont disputées pour savoir à qui appartenait le bébé. L'un d'eux a dit qu'il y a quelques jours, ils avaient tous deux donné naissance à des fils. Mais hier soir, l'enfant d'une autre femme est mort, et elle a remplacé son enfant mort par son enfant vivant. Le matin, en se levant pour nourrir le bébé, elle s'est immédiatement rendu compte : l'enfant mort dans ses bras n'était pas son fils. Une autre femme a insisté sur le fait que l'enfant vivant était le sien et que la première prostituée mentait.
Salomon a donné l'ordre d'apporter une épée et a ordonné au bourreau de couper "un bébé vivant en deux et de donner la moitié de l'un et la moitié de l'autre". "S'il vous plaît, mon seigneur," cria l'une des femmes avec horreur, "donnez-lui cet enfant et ne le tuez pas." L'autre est resté catégorique: "Que ce ne soit ni pour moi ni pour toi - chop!" - "Donne d'abord l'enfant vivant... c'est sa mère", ordonna Salomon.
"Et tout Israël entendit parler du jugement... et ils craignirent le roi, car ils virent que la sagesse de Dieu était en lui, pour exécuter le jugement" (3:16-28).
Cependant, ne soyons pas pointilleux et inclinons-nous devant la "sagesse extraordinaire" de Salomon. Disons qu'il existe de nombreux cas de ce genre. Tous les peuples ont toujours eu des juges qui allient perspicacité et simplicité. Nous nous limitons à seulement deux cas. Les juges dont il sera question n'ont pas reçu le don de sagesse de Dieu dans un rêve.
Quelqu'un est monté tout en haut du clocher pour y réparer quelque chose. Il a eu le malheur de tomber, mais en même temps il a eu la chance de ne même pas se blesser. Mais sa chute est devenue fatale pour la personne sur laquelle il est tombé : cette personne est décédée. Les proches du défunt ont amené les morts au tribunal. Ils l'ont accusé de meurtre et ont réclamé soit la peine de mort, soit des dommages-intérêts. Comment résoudre un tel litige ? Il fallait donner quelque satisfaction aux proches du défunt. En même temps, le juge ne s'estimait pas en droit d'accuser de meurtre, même involontaire, une personne qui aurait elle-même été victime d'un accident. Le juge a ordonné aux proches du défunt, particulièrement persistants dans les litiges et réclamant la vengeance le plus bruyamment, de grimper au sommet du clocher et de se précipiter de là vers l'accusé - l'assassin involontaire qu'il a chargé de l'obligation être à ce moment-là à l'endroit même où la victime est morte. Inutile de dire que la querelle ennuyeuse a immédiatement abandonné sa prétention ridicule.
Le deuxième cas intéressant s'est produit avec le juge grec. Un jeune Grec économisait de l'argent pour payer la courtisane Theonida pour sa possession. Entre-temps, une nuit, il rêva qu'il savourait les délices de Theonida. Quand il s'est réveillé, il a estimé qu'il serait imprudent de dépenser de l'argent pour le plaisir d'un instant. À un moment donné, il a parlé à ses amis de ses intentions amoureuses, et maintenant il leur a parlé de son rêve et de sa décision de renoncer au plaisir de devenir l'amant de Theonida. La courtisane, offensée par cette tournure des affaires, et surtout, contrariée de ne pas avoir reçu l'argent, a traduit le jeune homme en justice, exigeant une récompense. Elle assura qu'elle conservait le droit à la somme que le jeune homme s'apprêtait à lui offrir, car c'est elle qui, bien qu'en rêve, assouvit son désir. Le juge, qui n'était nullement un Salomon quelconque, rendit un décret devant lequel nos prêtres sont obligés de s'incliner : ce païen, que Dieu n'éclaira pas de la lumière de la vraie piété, invita le jeune Grec à apporter la somme promise et à jeter le l'argent dans la piscine pour que la courtisane puisse jouir du son et de la contemplation des pièces d'or, tout comme le jeune homme jouissait de l'intimité fantomatique.
Les conquêtes du père David ont apporté à Salomon le royaume le plus grand et le plus durable de l'histoire de l'Europe. Par conséquent, il avait suffisamment de temps pour des réflexions abstraites et des fonds pour une construction grandiose. C'est lui qui a construit le premier Temple à Jérusalem (voir ch. 43), qui a résisté jusqu'en 586 av. e.
Afin de construire le Temple, il a imposé des taxes exorbitantes et envoyé chaque mois 10 000 Israéliens aux travaux forcés au Liban pour payer les matériaux de construction achetés là-bas. La combinaison d'impôts exorbitants avec le travail forcé a provoqué le ressentiment parmi le peuple, se souvenant encore de l'amère esclavage égyptien. Combien de murmures se sont intensifiés lorsqu'il est devenu clair que des "impôts extraordinaires" continuent d'être perçus même après l'achèvement de la construction du Temple.
L'hypersexualité excessive du roi, même selon les normes anciennes, a également suscité des critiques. Aucun Juif dans l'histoire n'a jamais eu autant de femmes que Salomon. La Bible rapporte qu'il avait 700 femmes et 300 concubines. Beaucoup, sinon la plupart d'entre eux, étaient de nobles étrangers, par l'intermédiaire desquels le roi entretenait de bonnes relations avec leurs pays. Malheureusement, le monarque n'a pas autant influencé les croyances religieuses de ses épouses non juives qu'elles ont séduit son mari dans leur foi. La Bible dit ainsi du roi qui bâtit le magnifique Temple : « Son cœur n'a pas été entièrement (donné) à l'Éternel son Dieu, comme le cœur de David son père ; il bâtit aussi des sanctuaires pour les idoles, afin que ses femmes païennes aient un lieu pour prier » (11 :3-10).
En colère, Dieu déclara à Salomon qu'il enlèverait le royaume à ses descendants, ne laissant que la tribu de Juda sous leur domination - et alors seulement à cause de "Mon serviteur" David et "à cause de Jérusalem, que je ont choisi."
Cependant, même si Salomon ne brillait pas de sagesse, mais buvait toute sa vie sous un olivier avec ses dames, il resterait dans la mémoire éternelle de l'humanité comme l'écrivain le plus raffiné et le plus raffiné de tous les temps et de tous les peuples. Trois œuvres exceptionnelles appartiennent à sa plume, qui lui ont valu une renommée mondiale et glorifié son peuple à travers les âges. Un poème lyrique d'amour exquis "Cantique des cantiques", plein de sagesse "Paraboles" et empoisonné par la mélancolie et l'attente d'une mort imminente "Ecclésiaste".
On pense qu'il a écrit le Cantique des Cantiques plein de sensualité romantique dans sa jeunesse, les Proverbes sages et judicieux au milieu de sa vie et le sombre Ecclésiaste dans ses années de déclin.
L'idée principale de l'Ecclésiaste est contenue dans le second verset du livre : "Vanité des vanités... tout est vanité" (1:2). L'auteur du livre, qui se fait appeler Ecclésiaste, écrit qu'il était le roi d'Israël et le fils du roi David (d'où la paternité est attribuée à Salomon), il a acquis une grande sagesse, mais a vu que sa vie était toujours aussi dénuée de sens que s'il n'était rien et n'étudiait pas. Le livre conclut : « Il n'y a pas de meilleur bien pour un homme que de manger et de boire, afin que son âme soit bien dans son travail » (2:24).
L'Ecclésiaste méprise particulièrement ceux qui consacrent leur vie à l'accumulation d'argent. "Celui qui aime l'argent ne se contentera pas d'argent" (5:9) - il dit à un endroit et à un autre remarques: "Comme il est sorti nu du ventre de sa mère, ainsi il partira comme il est venu; et pour son travail, il ne portera rien dans sa main ... et quel profit a-t-il qu'il ait travaillé pour le vent? (5:14-15).
L'une des caractéristiques les plus embarrassantes du livre est son déni complet de l'au-delà et sa croyance en la rétribution et la punition. L'Ecclésiaste insiste sur le fait que Dieu traite les bonnes personnes de la même manière que les mauvaises personnes : offrant des sacrifices et ceux qui n'offrent pas de sacrifices ... C'est mal dans tout ce qui se fait sous le soleil, qu'il y a un sort pour tout »(9: 2-3). Pour renforcer son propos, l'Ecclésiaste souligne qu'après la mort "il n'y a pas de travail, pas de plan, pas de connaissance" (9:10).
Pour de telles conclusions, ainsi que pour l'indulgence du polythéisme, Salomon est condamné dans le texte de la Bible. Mais malgré une condamnation aussi sévère du roi, l'image du jeune sage royal prévaut dans la tradition juive. Le nom de Salomon reste populaire auprès des Juifs. Il exprime l'espoir des parents que leur fils sera aussi sage et prospère que son ancien homonyme.
Chute du roi Salomon
La Torah orale rapporte que le roi Salomon a perdu son trône, sa richesse et même la raison de ses péchés. La base est les paroles de Kohelet (1, 12), où il parle de lui-même comme du roi d'Israël au passé. Il descendit peu à peu du sommet de la gloire vers les bas-fonds de la pauvreté et du malheur (V. Talmud, Sanhédrin 20 b). On pense qu'il a de nouveau réussi à s'emparer du trône et à devenir roi. Salomon a été renversé du trône par un ange qui a pris la forme de Salomon et a usurpé son pouvoir (Ruth Rabbah 2, 14). Dans le Talmud, au lieu de cet ange, Ashmadai est mentionné (V. Talmud, Gitin 68 b). Certains sages du Talmud des premières générations croyaient même que Salomon était privé de son héritage dans la vie future (V. Talmud, Sanhedrin 104 b ; Shir a-shirim Rabbah 1, 1). Le rabbin Eliezer donne une réponse évasive à la question sur l'au-delà de Salomon (Tosef. Yevamot 3, 4 ; Yoma 66 b). Mais, d'autre part, il est dit de Salomon que le Tout-Puissant lui a pardonné, ainsi qu'à son père, David, tous les péchés qu'il a commis (Shir a-shirim Rabbah 1. p.).
Anneau du roi Salomon
Dans sa jeunesse, le roi Salomon a reçu une bague avec les mots que quand ce sera très difficile pour lui, que ce soit triste, que ce soit effrayant - laissez-le se souvenir de la bague et la tenir dans ses mains. La richesse de Salomon n'a pas été mesurée, un anneau de plus - l'augmentera-t-il considérablement?
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Une fois dans le royaume de Salomon, il y eut une mauvaise récolte. La peste et la famine ont surgi : non seulement les enfants et les femmes sont morts, même les soldats étaient épuisés. Le roi ouvrit toutes ses poubelles. Il envoya des marchands vendre des objets de valeur de son trésor pour acheter du pain et nourrir le peuple. Salomon était bouleversé - et soudain, il se souvint de la bague. Le roi a sorti l'anneau, l'a tenu dans ses mains ... Rien ne s'est passé. Soudain, il remarqua qu'il y avait une inscription sur la bague. Qu'est-ce que c'est ça? Des signes anciens… Salomon connaissait cette langue oubliée. TOUT PASSE, lut-il.
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De nombreuses années ont passé... Le roi Salomon est devenu connu comme un dirigeant sage. Il s'est marié et a vécu heureux. Sa femme est devenue son assistante et conseillère la plus sensible et la plus proche. Et soudain, elle est morte. Le chagrin et le désir s'emparèrent du roi. Ni les danseuses et les chanteuses, ni les compétitions de catcheurs ne l'amusaient... Tristesse et solitude. Approche de la vieillesse. Comment vivre avec ? Il a pris la bague : « Tout passe » ? La tristesse serra son cœur. Le roi n'a pas voulu supporter ces mots: par agacement, il a jeté l'anneau, il a roulé - et quelque chose a clignoté sur la surface intérieure. Le roi leva l'anneau et le tint dans ses mains. Pour une raison quelconque, il n'avait jamais vu une telle inscription auparavant : "CELA PASSERA."
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Bien d'autres années se sont écoulées. Salomon s'est transformé en un vieil homme antique. Le roi comprit que ses jours étaient comptés et tant qu'il lui restait des forces, il lui fallait donner les derniers ordres, avoir le temps de dire au revoir à tout le monde, bénir les successeurs et les enfants. « Tout passe », « Cela passera aussi », se souvient-il en souriant : tout est parti. Maintenant, le roi ne s'est pas séparé de l'anneau. Il est déjà usé, les anciennes inscriptions ont disparu. Avec des yeux affaiblis, il remarqua : quelque chose apparut sur le bord de l'anneau. Qu'y a-t-il, encore quelques lettres ? Le roi a exposé le bord de l'anneau aux rayons du soleil couchant - les lettres sur le bord ont clignoté: "RIEN NE PASSE" - Salomon a lu ...
Une autre variante
Malgré sa sagesse, la vie du roi Salomon n'était pas paisible. Et une fois, le roi Salomon a demandé conseil au sage de la cour avec une demande: «Aidez-moi - beaucoup de choses dans cette vie peuvent me rendre fou. Je suis très sujet aux passions, et cela me gêne ! A quoi le sage répondit : « Je sais comment t'aider. Mettez cet anneau - la phrase y est gravée: "Ça passera." Lorsqu'une forte colère ou une forte joie surgit, regardez cette inscription et elle vous dégrisera. En cela vous trouverez le salut des passions ! Salomon a suivi les conseils du sage et a trouvé la paix. Mais il est venu un moment où, regardant, comme d'habitude, la bague, il ne s'est pas calmé, mais, au contraire, s'est encore plus emporté. Il arracha la bague de son doigt et était sur le point de la jeter loin dans l'étang, mais remarqua soudain qu'il y avait une sorte d'inscription à l'intérieur de la bague. Il regarda de plus près et lut : "Cela aussi passera."
Mines du roi Salomon
Après la publication de King Solomon's Mines d'Henry Rider Haggard en 1885, de nombreux aventuriers ont perdu la paix et sont partis à la recherche d'un trésor. Haggard croyait que le roi Salomon possédait des mines de diamants et d'or.
Il est connu de l'Ancien Testament que le roi Salomon possédait d'énormes richesses. On dit que tous les trois ans il naviguait vers le pays d'Ophir et rapportait de l'or, de l'acajou, des pierres précieuses, des singes et des paons. Les scientifiques ont tenté de découvrir ce que Salomon a apporté à Ophir en échange de ces richesses et où se trouve ce pays. L'emplacement du pays mystérieux n'a pas été clarifié à ce jour. On pense que cela peut être l'Inde, Madagascar, la Somalie.
La plupart des archéologues sont convaincus que le roi Salomon a extrait du minerai de cuivre dans ses mines. À différents endroits, de «vraies mines du roi Salomon» apparaissaient périodiquement. Dans les années 1930, il a été suggéré que les mines de Salomon étaient situées dans le sud de la Jordanie. Et ce n'est qu'au début de notre siècle que les archéologues ont trouvé des preuves que, en effet, les mines de cuivre découvertes sur le territoire jordanien dans la ville de Khirbat en-Nahas pourraient être les mines légendaires du roi Salomon.
De toute évidence, Salomon avait le monopole de la production de cuivre, ce qui lui a permis de réaliser d'énormes profits.
Une des meilleures paraboles du roi Salomon
Lorsque le roi Salomon descendit de la montagne, après avoir rencontré le lever du soleil, ceux qui étaient rassemblés au pied dirent :
Vous êtes une source d'inspiration pour nous. Vos mots changent les cœurs. Et votre sagesse éclaire l'esprit. Nous aspirons à vous écouter. Dites-nous qui sommes-nous ?
Il sourit et dit :
Tu es la lumière du monde. Vous êtes des étoiles. Vous êtes le temple de la vérité. L'univers est en chacun de vous. Plongez votre esprit dans votre cœur, demandez à votre cœur, écoutez à travers votre amour. Heureux ceux qui connaissent la langue de Dieu.
- Quel est le sens de la vie ?
La vie est un voyage, un but et une récompense. La vie est une danse d'amour. Votre objectif est de vous épanouir. Être est un grand cadeau au monde. Votre vie est l'histoire de l'univers. Et donc la vie est plus belle que toutes les théories. Traitez la vie comme des vacances, car la vie est précieuse en soi. La vie est faite du présent. Et le sens du présent est d'être dans le présent.
Pourquoi les malheurs nous hantent-ils ?
Ce que vous semez est ce que vous récoltez. Le malheur est votre choix. La pauvreté est une création humaine. Et l'amertume est le fruit de l'ignorance. En accusant, on perd de la force, et en convoitant, on dissipe le bonheur. Réveillez-vous, car un mendiant est celui qui n'est pas conscient de lui-même. Et ceux qui ne trouvent pas le Royaume de Dieu à l'intérieur sont sans abri. Celui qui perd du temps devient pauvre. Ne faites pas de la vie un gâchis. Ne laissez pas la foule ruiner votre âme. Que la richesse ne soit pas votre malédiction.
- Comment surmonter l'adversité ?
Ne vous jugez pas. Car tu es divin. Ne comparez pas et ne divisez pas. Merci pour tout. Réjouis-toi, car la joie fait des merveilles. Aimez-vous, car tout le monde aime ceux qui s'aiment. Bénissez les dangers, car les braves trouvent le bonheur. Priez dans la joie - et le malheur vous contournera. Priez, mais ne négociez pas avec Dieu. Et sachez que la louange est la meilleure prière, et que le bonheur est la meilleure nourriture pour l'âme.
- Quel est le chemin du bonheur ?
Heureux ceux qui aiment, heureux ceux qui rendent grâce. Heureux sont les paisibles. Heureux ceux qui trouvent le paradis en eux-mêmes. Heureux ceux qui donnent avec joie et heureux ceux qui reçoivent des cadeaux avec joie. Chercheurs heureux. Heureux les éveillés. Heureux ceux qui écoutent la voix de Dieu. Heureux ceux qui accomplissent leur destin. Heureux ceux qui connaissent l'Unité. Heureux ceux qui ont goûté à la contemplation de Dieu. Heureux ceux qui sont en harmonie. Heureuses sont les beautés du monde qui voient à travers. Heureux ceux qui s'ouvrent au soleil. Heureux qui coule comme des rivières. Heureux prêt à accepter le bonheur. Heureux les sages. Heureux ceux qui se réalisent. Heureux ceux qui s'aiment. Heureux ceux qui louent la vie. Heureux les créateurs. Heureux libre. Heureux ceux qui pardonnent.
Quel est le secret de l'abondance ?
Votre vie est le plus grand trésor du trésor de Dieu. Et Dieu est le trésor du cœur humain. La richesse en vous est inépuisable et l'abondance qui vous entoure est sans limite. Le monde est assez riche pour que tout le monde devienne riche. Ainsi, plus vous donnez, plus vous recevez. Le bonheur est à votre porte. Ouvert à l'abondance. Et transforme tout en or de la vie. Heureux ceux qui trouvent des trésors en eux-mêmes.
- Comment vivre dans le monde ?
Buvez à chaque instant de la vie, car la vie non vécue engendre le chagrin. Et savoir ce qui est à l'intérieur, ce qui l'est à l'extérieur. L'obscurité du monde - de l'obscurité dans le cœur. Le bonheur est le lever du soleil. La contemplation de Dieu est dissolution dans la lumière. L'illumination est l'éclat de mille soleils. Heureux ceux qui ont soif de lumière.
- Comment trouver l'harmonie ?
Vivre simplement. Ne faites de mal à personne. N'envie pas. Laissez les doutes nettoyer, n'apportez pas l'impuissance. Consacrez votre vie à la beauté. Créez pour la créativité, pas pour la reconnaissance. Traitez les autres comme des révélations. Transformez le passé en l'oubliant. Apportez quelque chose de nouveau dans le monde. Remplissez votre corps d'amour. Devenez l'énergie de l'amour, car l'amour spiritualise tout. Là où il y a de l'amour, il y a Dieu.
- Comment atteindre la perfection de la vie ?
Salomon (héb. שְׁלֹמֹה, Shlomo ; grec Σαλωμών, Σολωμών dans la Septante ; lat. Salomon dans la Vulgate ; arabe سليمان Soliman dans le Coran) - le troisième roi juif du 6e à 928 royaume uni d'Israël, le légendaire souverain d'Israël 5-98 n. e., à son apogée. Le fils du roi David et de Bathsheba (Bat Sheva), son co-dirigeant en 967-965 av. e. Pendant le règne de Salomon à Jérusalem, le Temple de Jérusalem a été construit - le sanctuaire principal du judaïsme.
Le nom Shlomo (Salomon) en hébreu vient de la racine "שלום" (shalom - "paix", signifiant "pas la guerre"), ainsi que "שלם" (shalem - "parfait", "entier").
Salomon est également mentionné dans la Bible sous un certain nombre d'autres noms. Par exemple, il s'appelle Jedidiah (« bien-aimé de Dieu ou ami de Dieu »), nom symbolique donné à Salomon en signe de la faveur de Dieu envers son père David après son profond repentir pour adultère avec Bethsabée.
Dans la Haggadah, les noms Agur, Bin, Yake, Lemuel, Itiel et Ukal sont également attribués au roi Salomon.
La Bible est la principale source utilisée pour justifier l'historicité de l'existence de Salomon en tant que personne réelle. De plus, son nom est mentionné dans les écrits de certains auteurs de l'Antiquité, comme l'a écrit Josèphe.
À l'exception des récits bibliques enregistrés plus de 400 ans après la mort de Salomon, aucune preuve historique de son existence n'a été trouvée. Néanmoins, il est considéré comme un personnage historique. Selon ce règne, la Bible possède une fiche technique particulièrement détaillée avec de nombreux noms et personnages personnels. Le nom de Salomon est principalement associé à la construction du Temple de Jérusalem, détruit par Nebucadnetsar II, et de plusieurs villes, dont la construction était également associée à son nom.
En même temps, un contour historique tout à fait plausible côtoie des exagérations évidentes. Pour les périodes ultérieures de l'histoire juive, le règne de Salomon a représenté une sorte d '«âge d'or». Comme cela arrive dans de tels cas, toutes les bénédictions du monde ont été attribuées au roi "semblable au soleil" - la richesse, les femmes, un esprit remarquable.
Le roi David avait l'intention de transmettre le trône à Salomon, bien qu'il fût l'un de ses plus jeunes fils. Lorsque David est devenu décrépit, son autre fils, Adonija, a tenté d'usurper le pouvoir. Il entra dans une conspiration avec le grand prêtre Abiathar et le commandant des troupes, Joab, et, profitant de la faiblesse de David, s'annonça comme successeur au trône, nommant un magnifique couronnement.
La mère de Salomon, Bethsabée, ainsi que le prophète Nathan (Nathan) en ont informé David. Adonija s'enfuit et se cacha dans le Tabernacle, saisissant "par les cornes de l'autel" (1 Rois 1:51), après sa repentance, Salomon eut pitié de lui. Après son arrivée au pouvoir, Salomon a traité avec d'autres participants au complot. Ainsi, Salomon a temporairement retiré Abiathar du sacerdoce et a exécuté Joab, qui a tenté de se cacher en fuite. L'exécuteur des deux exécutions, Vanei, Salomon a nommé le nouveau commandant des troupes.
Dieu a donné la royauté à Salomon à condition qu'il ne s'écarte pas du service de Dieu. En échange de cette promesse, Dieu a doté Salomon d'une sagesse et d'une patience sans précédent.
La base du bien-être de Salomon était la route commerciale de l'Égypte à Damas qui traversait ses possessions. Il n'était pas un dirigeant guerrier, bien que les États d'Israël et de Juda, unis sous son règne, occupaient un territoire important. Salomon entretenait des relations amicales avec le roi phénicien Hiram. De grands projets de construction l'ont laissé redevable à Hiram. Pour rembourser la dette, Salomon a été contraint de lui céder les villages au sud de ses terres.
Selon l'histoire biblique, ayant appris la sagesse et la gloire de Salomon, le dirigeant du royaume sabéen vint à Salomon "pour le tester avec des énigmes". En réponse, Salomon a également offert des cadeaux à la reine, lui donnant "tout ce qu'elle voulait et demandait". Après cette visite, selon la Bible, une prospérité sans précédent a commencé en Israël. En un an, 666 talents d'or sont venus au roi Salomon. Par la suite, l'histoire de la reine de Saba a acquis de nombreuses légendes jusqu'aux hypothèses sur son histoire d'amour avec Salomon. Les dirigeants chrétiens d'Éthiopie se considéraient comme descendants de cette connexion (voir Dynastie salomonienne).
On pense que Salomon a mis fin à l'inimitié vieille d'un demi-millénaire entre les Juifs et les Égyptiens en prenant la fille du pharaon égyptien comme première épouse.
Selon la Bible, Salomon avait sept cents femmes et trois cents concubines (1 Rois 11:3), parmi lesquelles se trouvaient des étrangers. L'un d'eux, qui était alors devenu sa femme bien-aimée et avait une grande influence sur le roi, convainquit Salomon de construire un autel païen et d'adorer les divinités de son pays natal. Pour cela, Dieu s'est mis en colère contre lui et a promis de nombreuses épreuves au peuple d'Israël, mais après la fin du règne de Salomon. Ainsi, tout le règne de Salomon se passa assez calmement.
Salomon est mort en 928 av. e. à l'âge de 62 ans. Selon la légende, cela s'est produit alors qu'il supervisait la construction d'un nouvel autel. Afin d'éviter une erreur (en supposant qu'il pourrait s'agir d'un rêve léthargique), les associés ne l'ont pas enterré jusqu'à ce que les vers commencent à aiguiser son bâton. Ce n'est qu'alors qu'il a été officiellement déclaré mort et enterré.
Les dépenses énormes pour la construction du temple et du palais (ce dernier a été construit deux fois plus longtemps que le temple) ont épuisé le trésor public. Le devoir de construction était servi non seulement par des captifs et des esclaves, mais aussi par des sujets ordinaires du roi. Même pendant la vie de Salomon, des soulèvements des peuples conquis (Edomites, Araméens) ont commencé; immédiatement après sa mort, un soulèvement a éclaté, à la suite duquel un seul État s'est scindé en deux royaumes (Israël et Juda).
Selon le Coran, Suleiman (Suleiman) était le fils du prophète Dawood. De son père, il a appris beaucoup de connaissances et a été choisi par Allah comme prophète, et il a reçu un pouvoir mystique sur de nombreuses créatures, y compris les djinns. Il régnait sur un vaste royaume qui s'étendait au sud jusqu'au Yémen. Dans la tradition islamique, Suleiman est connu pour sa sagesse et sa justice. Il est considéré comme un dirigeant modèle. Ce n'est pas un hasard si de nombreux monarques musulmans portaient son nom.
La tradition islamique a quelques parallèles avec la Haggadah, où Salomon est présenté comme "le plus sage des hommes qui pouvait parler avec les bêtes, et ils lui obéissaient". Dans la tradition juive, il y a un motif d'humilité de ce roi fier.
Selon la légende, sous Salomon, le signe de son père David est devenu le sceau de l'État. Dans l'islam, l'étoile à six branches est appelée l'étoile de Salomon. Dans le même temps, les mystiques médiévaux appelaient le sceau de Salomon un pentagramme (étoile à cinq branches). On pense que l'étoile de Salomon a formé la base de la croix maltaise des chevaliers de Jean.
Dans les enseignements occultes (magie, alchimie, Kabbale, etc.), l'étoile à 12 branches est considérée comme un pentacle portant le nom "Etoile de Salomon". En raison du plus grand nombre de rayons, un cercle se forme au centre de l'étoile. Souvent, un symbole y était inscrit, grâce auquel, comme prévu, le pentacle aidait au travail intellectuel et renforçait les talents.
L'image du roi Salomon a inspiré de nombreux poètes et artistes : par exemple, le poète allemand du XVIIIe siècle. F.-G. Klopstock lui a dédié une tragédie en vers, l'artiste Rubens a peint le tableau Le Jugement de Salomon, Haendel lui a dédié un oratorio, et Gounod un opéra. a utilisé l'image du roi Salomon et le motif du Cantique des Cantiques dans son histoire Shulamith (1908). Basé sur la légende pertinente, le péplum "Salomon et la reine de Saba" (1959) a été filmé.